dimanche 25 novembre 2007

Non à la loi Pécresse et aux banquiers qui nous endettent

Non à la loi Pécresse
et aux banquiers qui nous endettent.
Pour enrichir tous les banquiers,
ils veulent brader l'Université.
Seule une monnaie sans intérêts,
nous permettra de la garder.
C’est à l’Etat de contrôler la création monétaire !
Après 1945, dans une France détruite, affamée, un certain contrôle du crédit par l’Etat, a permis la reconstruction du pays. Mais, depuis 1993, la Banque de France est redevenue indépendante… Qui peut prétendre que l’Etat est moins riche qu'en 1945 pour financer son Université?Chaque année, avec un PIB de 1800 milliards d’euros, l’Etat, les entreprises, les particuliers, donnent 200 milliards d’euros aux banquiers et financiers, rien que pour les intérêts (le prix de l’argent). Valérie Pécresse devra choisir entre l’intérêt des étudiants et les cadeaux aux banques privées...« L’argent est cher parce qu’il est rare », faux, archi faux. Maurice Allais, prix Nobel d’économie déclare : « l’argent est créé ex nihilo, à partir de rien ». Et ce rien n’a pas à être vendu !!!
La monnaie (à plus de 90 % électronique), ne coûte quasiment rien à créer (quelques secondes pour créer un milliard d’euros) : rien que des chiffres et des lettres sur un écran d’ordinateur.
Un budget ne doit pas être limité par les profits des banques privées, mais uniquement par le niveau des connaissances, le respect de l’environnement et les réserves de matières premières, d’énergie, de main d’œuvre. L'argent doit être créé en fonction de ces éléments.
Comme l’enseignement ou la santé, la monnaie n’a pas à être vendue au profit d’intérêts privés. Les banquiers payés pour le service rendu, la création monétaire deviendra un service public.
Libérons la Monnaie, collectif de Nantes


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 loi pour le contrôle des banques